du matchiara de la vigne

du matchiara de la vigne Pointer

Pointer

UN POEME POUR FREZIA

UN POEME POUR FREZIA

Mon chien s’en est allé à l’aurore d’un jour
Vers le lieu mystérieux d’où l’on ne revient pas.



C’était mon compagnon, mon ami de toujours
Et comme les humains il connut le trépas.




La maison désormais se retrouve sans lui.
Il repose en forêt sous les feuilles jaunies.
Plus jamais son accueil, son regard tendre et doux


Ses jappements de joie, son amour un peu fou !




Je garderai toujours le souvenir ému
De cet ami charmant et à jamais perdu.



Et je comprends très bien que l’on aime son chien
Quand beaucoup d’hommes hélas ! ne valent presque rien.